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Randonnées Heiwiller








En contre-bas de la Hochistross, la route haute d’Altkirch à Bâle, les villages s’égrènent le long du Thalbach. L’ancien moulin à grain de Hundsbach revit depuis peu, pour le plus grand bonheur des artistes et des amoureux de l’Histoire.








Une colline boisée sépare les vallées de l’Ill et du Thalbach. En la parcourant, on découvre tour à tour un ancien vignoble, une carrière marquée par un drame, un sentier botanique et l’histoire d’un infortuné général. Lorsqu’on atteint les fours à chaux d’Emlingen, c’est le XIXe siècle qui surgit soudain, figé dans la pierre et le fer.







Belle randonnée dans le Sundgau au départ de Willer.








Ici, on franchit allègrement les siècles, depuis l’oppidum du Britzgyberg jusqu’au cimetière militaire allemand d’Illfurth. Pourtant, en traversant le vaste massif de l’Altenberg et le village encore préservé de Luemschwiller, on pourrait croire un instant avoir réussi à suspendre le temps.








Une longue randonnée avec de superbes points de vues sur les Vosges, la Forêt-Noire puis le Jura.
De très nombreux points d'intérêts avec plaquettes explicatives, des bancs et points d'eau sont présents tout au long du parcours.








Les combats de la 1ère Guerre Mondiale s’abattent dans le Sundgau à partir d’août 1914. Les français font sauter le viaduc de Dannemarie et le front se stabilise et s’étend des Vosges à la frontière suisse. La ligne de front passait à quelques kilomètres d’Illfurth du côté de Heidwiller. Au cours de cette visite, vous découvrirez plusieurs bunkers aux vocations multiples, à la fois dépôt de munitions, poste d’observation ou emplacement de pièces d’artillerie et plusieurs casemates.








Une balade facile qui permet de prendre un grand "bol de forêt".
Non loin du centre ville d'Altkirch, on peut voir de très jolis points de vue et l'étang Erlen au bord duquel il fait bon s'asseoir et profiter...








Hirtzbach mérite une visite approfondie. Le château, le parc anglais et les demeures cossues de l’Unterdorf s’alignent sagement de part et d’autre du ruisseau, aux berges joliment fleuries à la belle saison. En cours de route, une escapade champêtre et sylvestre conduit au site du village disparu de Sankt-Glückern et au Landfürstenweyer, l’Etang des Princes, aux eaux dormantes.








C'est fin février, début mars qu'il faut aller à la rencontre du printemps dans la forêt de Saint-Bernard. C'est là qu'apparaissent les nivéoles signalant la fin de l'hiver.








Une randonnée dans les belles forêts sundgauviennes parsemées d'étangs, sans grandes difficultés excepté le temps de marche.
De nombreux coins à "casse-croûte" jalonnent le parcours.








Une randonnée au départ d'Hirtzbach qui passe par Largitzen et Heimersdorf.
De nombreux vestiges de la 1ère guerre mondiale jalonnent le parcours.








Envie d'une promenade de quelques heures à travers bois? Ce circuit est fait pour vous.
Sans difficulté, elle permet néanmoins de découvrir quelques "secrets" de cette partie du Sundgau et de profiter pleinement d'un bon moment passé dehors.








Quitter Carspach pour plonger dans la profondeur de la forêt, en sortir à Largitzen le temps d'un pique-nique avec point de vue. Cette randonnée vous fera découvrir les points remarquables de ce vaste domaine forestier.
Prévoir la journée même si le parcours est facile.








Selon Marc Glotz, "Le Sundgau ne possède que deux églises romanes, fondées l’une et l’autre par les dynasties qui se partageaient la région au Moyen Age : les Habsbourg et les Ferrette. Si Ottmarsheim évoque la grandeur carolingienne, Feldbach rappelle la simplicité monacale. On la quitte comme on revient d’un pèlerinage, avec la sérénité retrouvée et l’impression d’avoir croisé les ombres furtives des comtes."








Balade pour découvrir Brunstatt et ses hauteurs, au milieu des champs sur une grande partie, avec de belles vues sur les Vosges.








Par temps chaud, c’est une agréable promenade qui mène de la vallée de l’Ill à l’ancien lit du Rhin, au pied du Jura. Le chemin bien balisé ménage des temps de repos et conduit à une étrange crypte, dernier vestige d’un couvent anéanti par la Révolution, où plane encore l’ombre d’un poète proscrit.








En parlant de cette partie du Sundgau, André Gide écrivait : "On est sans cesse surpris, alors qu’on traverse la forêt, de se trouver en présence d’une nappe insoupçonnée, endormie mystérieusement à l’abri des hêtraies ; les joncs y ornent d’étroites plages de sable, au bord de grands champs de nénuphars. Plusieurs vestiges y rappellent aussi la Première Guerre Mondiale et la ligne du front qui séparait Largitzen de Bisel.
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