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Randonnées Brizambourg








Petite boucle tranquille sur de larges chemins, dans un cadre boisé et vallonné.







Randonnée pratiquement tout en sous-bois, sur chemins blancs comme on dit ici. Peu de dénivelé et très peu de goudron. Pleine nature garantie avec flore et faune.







Ce parcours vous fera découvrir la variété des paysages des Borderies. La vallée du Coran de Saint-Brice-des -Bois jusqu'à Saint-Sauvant longe trois villages où vous trouverez aussi bien un accueil pour vous restaurer que des églises ou monuments remarquables. Passé Saint-Sauvant vous ressentirez le côté secret des Borderies où les vignes et les exploitations se découvrent au détour d'un bois, au creux d'un vallon. La nature y est moins apprivoisée que dans le reste de la région.







Voici un itinéraire de promenade sans difficulté à travers le paysage champêtre de la commune d'Aujac. Parcelles de vignes, prairies, haies et bosquets, un cadre bucolique et calme.








Balade sur la commune de Courcerac, boucle au départ de l'aire naturelle et son étang, pour cheminer entres les vignes et emprunter quelques sentiers forestiers.








Saint-Sulpice-de-Cognac est agréablement située entre les marais de l'Antenne et des coteaux calcaires. On y découvre les vestiges de la voie romaine d'Agrippa et des chemins de fer départementaux.
Cherves-Richemont est baignée par l'Antenne et offre une diversité de paysages imprévus. Le patrimoine historique est riche: églises romanes, Château Chesnel, moulins, logis...







Une randonnée dans le paysage vallonné et boisé de la Saintonge. À l'arrivée, vous pourrez admirer la lanterne des morts et le portail roman de l'église de Fenioux. Des panneaux explicatifs renseignent sur ces deux monuments.
Vous suivez partiellement le GR®655 (un chemin de Saint Jacques, voie de Tours) et le GR®360 mais aucun balisage fiable sur l'itinéraire.








Une randonnée autour de Bussac-sur-Charente. La trace passe dans la petite gorge creusée par le Rocheffolet. Vous verrez aussi des moulins à eau et un moulin à vent.







Une randonnée créée et balisée par l'association des Randonneurs du Pays de Matha. Ce circuit de 11km chemine dans la campagne et le vignoble au Sud de la petite ville de Matha.








Une randonnée crée et balisée par l'association des Randonneurs du Pays de Matha. Ce circuit de 7km chemine dans la campagne et le vignoble au Sud de la petite ville de Matha.






Une randonnée qui vous conduira sur les hauts de la commune de Chaniers pour découvrir la vue sur les coteaux de l'autre côté de la Charente et retour en longeant le fleuve.








Limitée au Sud par la Charente, la commune de Saint-Laurent présente un bourg ramassé autour de son église dotée d'un portail du XIe siècle, de plusieurs villages répartis dans les vallées et sur les coteaux ainsi que des fermes et des logis isolés.








À la découverte de Saintes, une ville chargée d'histoire, bercée par les flots de la Charente.








Les anciennes carrières de Crazannes offrent un paysage surprenant composé d'abrupts de pierre et de gorges étroites. La pierre blanche résistante a servi à l'édification ou à la restauration de monuments tels que le Fort Boyard.
Les Lapidiales est un lieu qui offre aux visiteurs un musée à ciel ouvert, accès libre et gratuit, où les excavations laissées par les carriers donnent l’impression de se retrouver au milieu d’un labyrinthe géant et où l’on se plait à découvrir les sculptures.








Au confluent du Né et de la Charente, la commune de Merpins fut habitée très tôt et de façon continue : pointes de flèches, débris de poterie, puis forteresse médiévale imposante, église du 11e siècle, abbaye du 12e en sont la preuve. Ces terres fertiles portent des prairies, des céréales et un vignoble classé en Grande-Champagne.







Les charmes de la Petite Champagne : la vigne n'y est pas omniprésente comme en Grande Champagne, l'alternance des couleurs des cultures ravit l’œil.
De Ars à Bougneau, un chemin de crête avec de vastes panoramas sur la vallée de la Charente. De Bougneau à Lonzac une promenade sur de bons chemin dans l'attente ...d'une belle et triste histoire d'amour. Un retour par des chemins longeant la vallée du Né avec un gué qui sera le seul point d'eau naturel. Pensez aux possibilités de halte...








Par la beauté de ses sites et par la richesse de son patrimoine, Saint-Brice est l'une des communes les plus pittoresques du Cognaçais. Dans l'écrin que lui procurent les vallées de la Charente et de la Soloire, l'homme a depuis longtemps élevé des édifices symboliques : dolmens, églises, abbayes, châteaux et logis, toutes ces constructions étant d'une facture particulièrement soignée.








Gimeux, érigé au flanc d'un coteau qui domine la vallée et les marais du Né, possède une agriculture florissante : prairies et céréales dans la vallée, vignoble sur les coteaux. Des vestiges de sépultures et le tracé de la voie romaine, dite "Chemin Boisné", révèlent l'occupation ancienne du lieu. L'église paroissiale date du 12e siècle. On peut également remarquer une ancienne chapelle ainsi que, sur le coteau de Fanaud, les restes d'un moulin à vent.







Ce circuit de 13 km vous invite à découvrir la petite commune rurale de Nachamps, dont le nom probablement issu du celte et du latin mêle végétation et plaine cultivée, ce qui correspond tout à fait aux paysages traversés.








Genté fit partie, au Moyen-Âge des châtellenies de Cognac et de Merpins et eut pour seigneur les sires de Cognac, depuis Arnaud jusqu’à Guy de Lusignan.
Ce dernier n’ayant pas de prospérités, légua à son neveu, Guy de Mortemer par testament en 1281, les seigneuries de Salles et Genté.
La famille de Mortemer posséda les droits seigneuriaux de Genté jusqu’en 1561, époque à laquelle Gaston de la Rochefoucault leur succéda.








Construite sur les premiers côteaux de Grande Champagne, Genté offre à ses habitants la proximité de la ville de Cognac qui se trouve à 8 km, et les charmes de la vie rurale. Le point 101 est un lieu emblématique de la commune de Genté où se situe la table d'orientation. En effet, à cet endroit se trouvait un ancien moulin dont certains vestiges se trouvent encore enfouis dans la terre autour du site. De plus, le point 101 est le point de repère par rapport au niveau de la mer.








Gensac-la-Pallue se distingue, en son centre, par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de « palus » : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente qui s’est ensablé à l’ère tertiaire. Si, autrefois, les Gensacais tiraient profit de la rouche (roseaux qui poussent dans le marais), elle n’est aujourd’hui que prétexte à commémorer l’histoire locale.








Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de "palus" (marais). Cette zone humide était le prolongement d'un bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.








Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de «palus» : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.







Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés.
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