Randonnées Garac

Une randonnée dans la campagne à la limite du Gers et de la Haute Garonne à partir de l'Abbaye de Sainte-Marie-du-Désert qui traverse deux jolis petits villages, Vignaux et Garac.

Une envie de se défouler les jambes en un rien de temps ? Cette balade est faite pour vous ! Le plus souvent en forêt, elle protège du soleil quand vient l'été.

Un petit parcours sans difficulté, accessible à tous. Circulation automobile rare, de jolis points de vue, les bords du lac... 30% de route goudronnée.

Cette balade vous permettra de découvrir trois villages en parcourant principalement des chemins.

Une journée sur la voie d'Arles du chemin de Saint-Jacques de Compostelle en suivant majoritairement le GR® 653 mieux balisé que le Camino. Départ et arrivé devant une gare pour pouvoir faire le retour dans la même journée en train.

Menville est un agréable petit village situé sur la rive gauche de la Save. La rivière y serpente paresseusement au milieu de vertes prairies. De coquettes maisons aux jardins entretenus avec soin sont groupées autour du clocher. Les Menvillois privilégient le calme et la proximité de la nature. Les routes de campagne donnent accès à des belles fermes anciennes que chacun s’entend à conserver et embellir.

Ce parcours est associé à une balade-quiz qui permet de découvrir des lieux emblématiques de la commune et des informations sur son histoire et son patrimoine, de façon ludique. Trouvez l'affiche Au fil de nos histoires à l'office de tourisme et scannez le QR Code pour démarrer le jeu (gratuit, pas d'inscription ni d'application à télécharger). Vous pouvez choisir le parcours "adulte" ou le parcours "adulte + enfant" (avec en plus des questions à destination des enfants de 6 à 11 ans). La description ci-dessous fait uniquement référence au parcours "adulte".

Au début du XIIe siècle, le village appartenait aux Comtes de l’Isle Jourdain. Village fortifié, devenu plus tard possession des Rois de France, Bretx passa sous la tutelle de différents seigneurs : famille de Faudoas au XVIe, famille Le Mazuyer au XVIIIe et de Belbèze avant la Révolution. Bretx connut au XIXe siècle une prospérité dont témoignent la plupart des bâtiments du bourg. Après le déclin au siècle dernier, le village connaît un nouvel essor en accueillant de nouveaux habitants.

Au XIIe siècle, un château et un village fortifié furent édifiés par les vicomtes de Gimoes. Le château devint propriété des comtes de L’Isle Jourdain. Launac fut le lieu de la sanglante bataille du Palot. Après une période de calme, la seigneurie passa aux mains de parlementaires toulousains suscitant un conflit sur les droits féodaux. Les habitants résistèrent, émigrèrent même pendant des années. Après la Révolution, la halle et l’église sont reconstruites, l’école créée, les remparts abattus.

Belle boucle chargée d'histoire où vous découvrirez un château et un village fortifié au village de Launac qui fut aussi le lieu de la sanglante bataille du Palot.

Cologne, près du pays toulousain, reste une des plus belles bastides du Sud-Ouest. Aux alentours, des espaces exploités et dégagés, laissent apercevoir un habitat de briques, des équipements hydrauliques et touristiques...

Le Burgaud, nom qui rappelle les bruyères couvrant autrefois son territoire, est une commune rurale où se forment les premiers coteaux de Gascogne. On a retrouvé les traces de six villas gallo-romaines sur le territoire du village. Celui-ci est créé en 1124 grâce au Seigneur Bertrand de Cobirac qui cède ce territoire aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui y tiendront une commanderie jusqu’en 1789. Le village alors fortifié est ramassé autour de l’église et de la maison forte des Commandeurs.

Au départ de la Maison Forestière Saint-Louis, un petit circuit en forme de rectangle, dans la Forêt de Bouconne et dans le Bois de l’Isle-Jourdain sans aucune route goudronnée et sans difficulté.

Une balade pour tous, dans la Forêt de Bouconne au départ du parking de la maison forestière Saint-Louis à Pujaudran vers le joli Lac de la Bordette

Boucle au départ du parking de la maison forestière, essentiellement sur des chemins avec de beaux points de vue. Le début emprunte une partie du chemin de Saint-Jacques-de- Compostelle par la voie d'Arles. L'aller vers Pujaudran suit, en grande partie, le GTP (Grand Tour de Pujaudran).

Boucle dans la Forêt de Bouconne qui vous fera comprendre que la forêt n'est pas vraiment plate. À l'aller, le circuit suit en grande partie le GR®653 vers Toulouse. Le GR®653 est le Sentier de Saint-Jacques-de-Compostelle via Arles. De Toulouse (31) à Borce (64) en direction du Somport. Voir : Pendant la randonnée ou à proximité

Avec de l'imagination, le tracé peut faire penser à un oiseau. Départ du parking de la Maison Forestière Saint-Louis à Pujaudran, circuit facile sans aucune voiture.

Une boucle pour découvrir toutes les curiosités de la partie Sud de la Forêt Domaniale de Bouconne.

Circuit basé sur le Grand Tour de Pujaudra (GTP), boucle au départ du parking de la Maison Forestière de Saint-Louis, avec une alternance de chemins et de routes et de beaux points de vue. Le début emprunte une partie du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle par la voie d'Arles.

Avec de l'imagination, le tracé du circuit peut faire penser à un chien assis. Le circuit commence et se termine au parking de la Maison Forestière Saint-Louis à Pujaudran. Circuit facile sans emprunt de route donc sans voiture, se déroulant sur la partie sud de la forêt.

Avec de l'imagination, le tracé du circuit peut faire penser à un loup. Le circuit commence et se termine au parking de la Maison Forestière Saint-Louis à Pujaudran. Circuit facile sans emprunt de route donc sans voiture, se déroulant sur la partie Sud de la forêt.

Ce village typique de la région toulousaine avec son clocher-mur à pignon triangulaire et ses maisons de brique réunies autour de la place du village, doté d'un prieuré bénédictin en 940, fut ensuite propriété des Jourdain de l’Isle au XIIe siècle. L’église reconstruite au XIXe siècle avec des briques et galets en « sandwich » était sous le vocable de Saint-Orens, évêque d’Auch au IVe siècle. À cette époque, l’abbé Gilard immortalisait les visages des paroissiens sur les fresques de l’église.