Randonnées Fouqueville

Randonnée qui démarre du centre du village, passe par l'église, le hameau du Hamel, l'église d'Hectomare, les hameaux du Bosc Harel, de Londemare, et retour à Crestot par le Nord.

Randonnée en boucle qui démarre du centre du village et passe par la mare du Moulin, la Croix Chère Mère, l'Église de Fouqueville, le hameau de Londemare et retour à Crestot.

Agréable randonnée sans dénivelé qui vous permettra de découvrir les arrières des propriétés de ce petit village de la plaine du Neubourg.

Sympathique circuit, mêlant bitume, chemins et sentiers au départ d'un petit village de l'Eure, dans la vallée de l'Oison.

L’Oison s’est appelé autrefois le Bec, le Becquet (du norois bekkr signifiant ruisseau), mais aussi le Dué ou Douet (du celtique four : eau courante). Découvrez de belles maisons normandes mais aussi une vingtaine d’espèces d’orchidées sauvages poussant dans la vallée classée en zone naturelle d’intérêt faunistique et floristique. La Fontaine Sainte-Clothilde, source miraculeuse, fut pendant longtemps un lieu de pèlerinage très fréquenté pour y guérir toutes sortes de maux. On raconte qu’elle donnait des forces aux enfants qui tardaient à marcher, lesquels étaient alors plongés dans l’eau très froide de la source.

Au départ de La Saussaye, le chemin s’ouvre rapidement sur une alternance de sous-bois et de petits chemins de campagne. L’itinéraire, permet de profiter d’un environnement rural calme et verdoyant. Après une mise en jambes agréable, on atteint Saint-Germain-de-Pasquier, charmant village normand connu pour la plus petite mairie de France : une superficie d'environ 8 m² (2,7 mètres sur 3), elle est en effet l'une des plus petites mairies de France, inscrite au Livre Guinness des records. Elle est installée dans l'ancienne chapelle Sainte-Clotilde désacralisée au début du XXe siècle, aménagée par un architecte naval habitué aux petits espaces. Une courte pause photo s’impose avant de poursuivre vers la Collégiale Saint-Louis, bel édifice dont l’architecture mêle sobriété et élégance.

En parcourant les rues et les chemins de la Saussaye, vous découvrirez quelques mares et leur utilité connue grâce à la mémoire des anciens. Sur votre chemin, vous remarquerez de belles demeures en briques et trouverez des arbres remarquables la plupart du temps en lien avec des périodes historiques du village.

Pour les amoureux de la marche, petite randonnée dans le pays du Roumois.

Entre village forêt et plaine, à la découverte de Vraiville : sa jolie mare, ses trois calvaires et les beaux vitraux de son église.

Randonnée aux paysages variés entre chemins, villages et bois.

Une promenade au départ de la Haye-Malherbe alternant petites routes dans le village et chemins agricoles. Passage à proximité des belles églises de la Haye-Malherbe et de Montaure, nouvellement Terres de Bord.

Cette randonnée comporte 70% de marche en forêt ou petits chemins pédestres. Il y a quelques passages sur route qui peuvent être dangereux, surtout le dernier tronçon, au niveau du Valanglier. On commence par une vue sur Elbeuf et la vallée de la Seine pour finir avec une vue sur la petite vallée de l'Oison. Il n'y a pas de balisage.

Jolie boucle entre vallées et plateaux en passant par le Château du Champ de Bataille.

Cette randonnée vous propose d’explorer ce patrimoine forestier remarquable, de respirer l’air frais des sous-bois et d’apprécier la tranquillité d’un milieu préservé. Que vous soyez passionné de nature, marcheur régulier ou simple curieux, Le Bois de la Hérangère saura vous surprendre par sa diversité et son ambiance apaisante.

Cette agréable randonnée vous permettra de découvrir ce petit coin de Normandie un peu méconnu car loin des lieux touristiques. On croise en chemin le joli Château de la Mésangère, un bel étang perdu en forêt mais surtout le Chêne à la Vierge de la Mésangère. Cet arbre remarquable est assurément l'un des plus beaux (si ce n'est le plus beau) de toute la région.

Dans la forêt de la Londe, trois carrières d'argile forment aujourd'hui autant d'étangs. Connue depuis l'époque gallo-romaine, la Terre à Pots n'a été exploitée qu'à partir du XVIe siècle et ce, jusqu'en 1870. Cette argile a notamment été utilisée pour fabriquer les carreaux de faïence blanche des premières stations du métro parisien. Cette promenade en forêt, sans grande difficulté, permet donc de découvrir une exploitation de carrière peu connue.