Ponts génois en dessous de Feliceto

Stationnement possible en contrebas de l'Église Saint-Nicolas dans le village de Feliceto, accès à partir de la D71 (sur la droite en venant de Muro).

(D/A) À partir de la plateforme où se situe l'Église Saint-Nicolas (ou à partir du parking situé juste en contrebas sur le côté de l'édifice), prenez la route qui descend (à l'avant de l'église). Continuez par une descente assez raide. Suivez cette route ombragée jusqu'au bout et atteignez la station d'épuration.

(1) Juste en-dessus de la station d'épuration (il y a aussi une petite chapelle - Son Rocca). Prenez le petit sentier sur gauche et suivez-le sur 150m environ.

(2) Bifurquez à nouveau à gauche et, après une vingtaine de mètres, traversez un petit ruisseau (Fiume di Regino), puis suivez le chemin muletier qui le surplombe. Juste après quelques maisons restaurées, aboutissez à un croisement en T.

(3) Tournez alors à gauche. Après 250 m environ, atteignez à droite un très joli pont génois parfaitement conservé : très bel endroit pour une halte et baignade possible juste après le pont (vasque assez profonde, possiblement assez fréquenté).

(4) Revenez sur vos pas jusqu'au croisement en T précédent.

(3) Continuez tout droit et traversez le ruisseau à gué. Poursuivez sur le chemin qui remonte doucement vers le village. Suivez ce chemin en laissant sur gauche (au niveau du petit hameau de Pieve) le chemin qui rejoint la D71. Arrivez au deuxième pont génois de la balade, situé juste en-dessus de la station d'épuration

(5) Faites encore quelques mètres pour rejoindre l'intersection de la boucle.

(1) Reprenez, sur gauche, la route qui vous ramène vers le village et le lieu de stationnement (D/A).

Le village de Feliceto propose plusieurs Bar et restaurants ; pas de points d'eau sur le trajet de cette balade ; chaussures type basket suffisantes.

Une grande partie du trajet est ombragée.

Possibilité de baignade au niveau du premier pont génois. Sur une partie du trajet, l'activité agricole est encore présente (élevage, oliviers), on devine, sur la fin du parcours, l'intensité des aménagements dans les siècles passés et l'intensité de l'activité agricole.