Boucle de Le Pin via Estaussan et Vieussan

À Saint-Chinian, prendre la D20 en direction de Cessenon-sur-Orb, puis de Roquebrun et Vieussan. 2 km avant Vieussan, emprunter la D160 qui mène au hameau de Le Pin. Traverser le hameau et stationner sur un petit parking sur la gauche, à la sortie (six à sept places disponibles).

(D/A) Du petit parking, repartir en arrière dans la rue principale, et emprunter la rue très pentue ou le grand escalier qui monte sur la droite. Les ruelles montent assez rudement entre de belles maisons en pierre, dont l'architecture est assez remarquable avec des voûtes et de jolis petits jardins ou terrasses. Direction Nord, passer entre le château d'eau et le cimetière, puis emprunter le sentier qui débouche sur une piste empierrée.

(1) Tourner à droite pour suivre cette piste qui monte régulièrement pendant 1,3 km.

(2) Quitter la piste empierrée pour emprunter un chemin qui monte sur la gauche. La pente s'accentue et après quelques lacets, s’adoucit (cote 483).

(3) Poursuivre en obliquant à droite, à flanc, et atteindre un "replat".

(4) Virer à gauche et monter jusqu'à une piste empierrée. (Bien suivre la trace Visorando pour ne pas partir sur des pistes et des sentiers latéraux qui détourneraient du bon parcours).

(5) Tourner sur la piste à droite sur environ 350 m.

(6) Prendre la piste enherbée qui grimpe sur la gauche puis ignorer celle qui part sur la droite 100 m plus loin. Les derniers mètres sont un peu envahis par des ronces au ras du sol. Arriver sur une route goudronnée.

(7) Tourner à gauche, longer le hameau d'Estaussan par la gauche et, à la sortie, prendre la piste de droite. Ignorer ensuite la suivante sur la gauche pour arriver à une intersection avec un sentier.

(8) Bifurquer à gauche sur le sentier qui passe en sous-bois en suivant le lit d'un ruisseau à sec. Environ 450 m plus loin, délaisser le sentier qui traverse le ruisseau en partant sur la droite pour continuer toujours en rive gauche du ruisseau du Pountil/d'Estaussan, en sous-bois.

(9) Quitter le sentier le plus marqué pour bifurquer à droite sur une vague sente à flanc de versant qui mène rapidement sur un sentier plus large, mieux tracé. Partir en descente, à gauche, sur ce nouveau sentier qui va bientôt accuser une pente assez raide pour parvenir, plus bas, au niveau du ruisseau qu'on a quitté quelques minutes plus tôt.

(10) Longer le ruisseau vers l'aval dans son large lit ou sur des sentiers parallèles jusqu'à le traverser pour le quitter définitivement et remonter sur le versant opposé. Le sentier à flanc de montagne va surplomber le fleuve Orb en amont de Vieussan. Continuer vers le village en passant à droite de la Tour pour arriver dans les premières ruelles.

(11) Enfiler la Rue du Castellas qui se faufile au milieu de jolies maisons en pierre dont l'architecture a été conservée lors des rénovations. Ce village dégage un certain charme. Poursuivre sur le Chemin de Saint-Julio en délaissant les deux sentiers suivants qui partent sur la gauche. Le sentier longe, à flanc, la vallée de l'Orb empruntant des passages dans les rochers où de nombreuses marches permettent la progression. Passer au niveau du hameau en ruine de Mirabel (côte 181), puis suivre quelques lacets serré d'une sente direction Sud qui, après une grande courbe à gauche, ramène sur une piste empierrée.

(12) Prendre à gauche sur la piste, ignorer la piste suivante sur la droite pour arriver à l'itinéraire déjà emprunté au début de la randonnée.

(1) Prendre, à droite, le sentier en sens inverse qui permettra d'entrer dans le hameau en passant entre le château d'eau et le cimetière. Descendre à travers les ruelles pour retrouver le lieu de stationnement (D/A).

Au (9), le sentier descend un peu raide. S'il pleut ou s'il a plu avant de l'emprunter, la descente présente quelques difficultés. À partir du (10), la progression se fait la plupart du temps dans le lit du ruisseau. Si cela ne présente pas de problème en période sèche, lorsque il y a de l'eau ou après une période de pluie, le sol, très glissant, présente des difficultés de stabilité en se transformant en véritable patinoire. Il vaut mieux éviter la période hivernale. Pour l'avoir fait en montant alors que de l'eau coulait dans le ruisseau, il était très difficile de se maintenir debout.