Boucle au départ de Lachapelle-sous-Rougemont

Départ au stade de Lachapelle-sous-Rougemont.

Le circuit est balisé avec un Anneau Rouge.

(D/A) Depuis le parking du stade, partir vers ce dernier, passer à droite de la cabane près de l'aire de jeux d'enfants, et entrer dans la forêt. Traverser le Canal du Moulin sur une belle passerelle.

(1) Tourner à droite en débouchant sur un large chemin, passer à côté d'une ferme où l'on peut voir des chèvres et des moutons. Il y a plusieurs panneaux descriptifs sur la faune, la flore et l'agriculture dans le département.

(2) Tourner à droite en arrivant à la route goudronnée. Tourner à gauche en arrivant à la D11. Attention au trafic routier.

(3) Suivre cette route en longeant la Rivière Saint-Nicolas, passer devant la mairie, repérer les décorations et les panneaux descriptifs juste avant le pont. Admirer la belle cascade.

(4) Traverser le pont et tourner à gauche. Suivre la D15 en direction de Rougemont-le-Château. Repérer les anciens outils agricoles exposés près de la rivière.

(5) Obliquer à droite sur le chemin un peu avant la station de pompage. Aller à nouveau à droite et le suivre jusqu’à un petit bois.

(6) Après, laisser le chemin à gauche et continuer à droite sur le chemin qui traverse une belle prairie. Longer l'Étang Bouchon et continuer dans la forêt. Par temps humide le chemin peut être boueux. Continuer toujours tout droit jusqu'à la route (D14 BII).

(7) La traverser et tourner à droite et la longer avec précaution car les voitures roulent vite sur cette portion. La quitter en bifurquant à gauche près d'un grand panneau décrivant les randonnées. Continuer sur le chemin, tourner à droite en arrivant sous la ligne haute tension, puis plus loin à gauche. Bien surveiller le balisage qui est fort utile. Le circuit arrive en Alsace. Repérer à droite des anciens blockhaus datant de la guerre 1914-1918. Attention il faut bien regarder car ils sont protégés par des tas de terre.

(8) Tourner à droite au premier carrefour après les blockhaus. Continuer sur le large chemin, laisser le chemin à gauche et continuer tout droit. Au carrefour suivant, tourner à droite et traverser un petit ruisseau. Le circuit repasse dans le territoire de Belfort et sort de la forêt.

(9) Après la sortie de la forêt, au carrefour tourner à gauche et longer la haie. Pénétrer dans le Bois Denier et, au carrefour suivant, continuer tout droit. Le chemin est sinueux. Il tourne à droite, puis à gauche. Ne pas oublier de profiter de la vue sur la chaine des Vosges et le massif du Jura suisse.

(10) Au carrefour, tourner à droite, au suivant continuer tout droit et plus loin, bifurquer à gauche et continuer en direction de Lachapelle-sous-Rougemont.

(11) Bifurquer à droite au carrefour juste avant d'arriver au village. Admirer la belle vue sur le village et l'église.

(12) Au carrefour tourner à gauche sur un petit sentier. Bien surveiller le balisage. Traverser la Rivière Saint-Nicolas, longer la prairie, traverser prudemment la D11, et continuer sur la Rue du Stade pour arriver au point de départ (D/A).

Départ au stade de Lachapelle-sous-Rougemont dans le Territoire de Belfort.

Il est possible de commencer le circuit au Lac de la Seigneurie. Dans ce cas commencer au (7) ou à Petitefontaine au (4).

Par temps humide le chemin peut être boueux. Notamment entre (4) et (7).

Après le point (7) il y a un camping et un café restaurant au Lac de la Seigneurie.

Ce circuit a été développé par les services du département du Territoire de Belfort en partenariat avec la communauté de Communes des Vosges du Sud CCVS. Il a été balisé en 2025.

Visorando a été renseigné par Mr Chevalley membre bénévole à Balisage90

La Saint-Nicolas prend sa source à 800 m d'altitude à proximité du Ballon de Saint-Nicolas. Elle mesure 30 km et traverse treize villages. Elle rejoint la Madeleine à Autrechêne pour former la Bourbeuse.

Petitefontaine. Toponymie : Brun (1576), Dz dorff Brun (1628), Petite Fontaine (1793), Petite-Fontaine (1801), Petitefontaine (1962). En allemand : Klein-Brunn.
Le nom du village est cité pour la première fois en 1388. À cette époque il était vraisemblablement déjà rattaché à la paroisse d'Angeot et faisait partie de la seigneurie de Rougemont. Après la guerre de 1871 et l'application du traité de Francfort, Petitefontaine fut détaché du canton de Masevaux avec les autres communes : Rougemont, Leval et Romagny. Source Wikipédia.

Petitefontaine est joliment décoré. Vous pourrez voir de nombreux équipements agricoles d'autrefois et une sculpture d'hippocampe en bois. Les abords du pont sur la Saint-Nicolas sont bien mis en valeur. Bravo aux bénévoles.

Cigognes : avec ses nombreux étangs et marécages la région est propice pour observer les cigognes. En 2024 on compte 80 couples dans le Territoire de Belfort. Il y a de nombreux nids à Petitefontaine.

Lachapelle-sous-Rougemont. Toponymie : Capella (1214), Ecclesiam de villa que Capella nuncupatur (1234). À la Chapelle vers Roigemont (1295), Capel (1576), Capplen (1579). En allemand : Welschen Kappelen.
Ses habitants sont appelés les Chapelons.
Le nom du village Capella est mentionné dès la fin du XI^e siècle. Il faisait alors partie de la seigneurie de Rougemont. Lachapelle a constitué un relais de poste et un gîte d'étape fréquenté. À l'époque de la Restauration, en 1818 un petit séminaire est créé, qui fonctionna jusqu'à la guerre de 1870. Devenu collège libre en 1873, il accueillait en 1882 environ 300 élèves alsaciens qui venait y étudier en français pour échapper à la germanisation de leur province. C'est sans doute la consommation de bière par les voyageurs dans les nombreuses auberges de la localité qui poussa la famille Grisez à construire en 1835 une brasserie à l'entrée du village en venant de Belfort. De 1893 à 1961 un atelier de forgeage, les Établissements Woerlin, fabriquaient des pointes de navettes pour les métiers à tisser.
En 1914, Lachapelle fut reliée à Belfort par une branche du chemin de fer local à voie métrique passant par Les Errues. Dès le début de la guerre, la ligne fut prolongée par le génie militaire jusqu'au village alsacien de Sentheim. Les trains étaient tractés par des locomotives électriques, plus discrètes que les machines à vapeur qui auraient été immédiatement repérées par l'ennemi tout proche.
Source Wikipédia.