Le Salas à Brassac-sur-Agout

Parking de la Place de la Marquise. Voir accès dans les Informations pratiques.

(D/A) Emprunter le vieux pont (XII^e siècle) qui enjambe l’Agout. Prendre à droite la Rue du Moulin (maison à colombage), puis de suite à gauche la Rue de l’Escriboto jusqu’à la place de l’église, puis à droite.

(1) Suivre à gauche le Chemin de la Carrièrasse. Traverser la route de la Raviège et poursuivre par la Rue de Lafusarié (ce quartier abritait les « fusaîres » ou fileurs de laine). Sur la droite, près d’une fontaine, on peut voir un calvaire avec la  représentation des différents outils qui serviront à la crucifixion du Christ.

(2) En haut de la rue, prendre à droite le petit pont et monter à travers bois. À la croix, tourner à droite, puis aller tout droit aux deux prochains croisements jusqu'au plateau.  

(3) À l’arrivée sur le plateau, de suite à gauche, prendre la piste, puis tourner à droite dans un petit chemin creux (vue sur le village de Castelnau de Brassac). À la large piste, prendre à droite puis suivre le chemin à droite dans le sous-bois jusqu'à une ruine.

(4) À la ruine, suivre la piste jusqu’au croisement des quatre chemins. Prendre la piste empierrée à droite.

(5) Au croisements de quatre chemins, aller tout droit pour arriver à la route.

(6) La suivre vers la droite. Au deuxième chemin, à gauche, descendre vers le village, longer les gîtes du Village vacances du Camboussel, puis arriver sur les rives de l'Agout. 

(7) Continuer à droite, puis sur la première à droite jusqu'à la place de l'église et le Chemin de la Carrièrasse.

(1) Bifurquer à gauche pour rejoindre le parking par l'itinéraire inverse de l'aller (D/A).

Départ : parking de la Place de la Marquise

Arrivée : même lieu que le départ

Communes : Brassac

Accès routier et parking : par la D622 ou la D53 ou la D62

Stationnement : parking du parc de la marquise - GPS : 43.62882, 2.49675

Transport

Ligne763

La rivière Agoût, au sortir d’une gorge escarpée, étale ses méandres dans une vaste cuvette.
Au Moyen-Âge, elle séparait les châteaux des deux seigneuries de Castelnau (rive droite) et Belfortès (rive gauche). Elle charria les corps des belligérants lors des batailles du XVI^e siècle, sur fond de luttes fratricides entre protestants et catholiques. Elle actionnait les moulins foulons (paradors) qui pressaient les draps de laine pour leur donner leur texture consistante.
Au XVII^e siècle Brassac produisait déjà la meilleure qualité, appelée cordelats, et se développa grâce à l’énergie de ses eaux et de ses Hommes.

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