Randonnées Église Saint-Blaise (Verdun - Ariège)

Dernière étape avant de rejoindre Gestiès et la Vallée de Siguer ; cette étape commence par une partie hors sentier pour rejoindre le Pla de Massayre, puis le GR®10, bien balisé, en suivant un long mais facile itinéraire de crêtes. Les vues sont splendides. L'utilisation du GPS est préconisée pour faciliter le début de cette étape.

Ascension de la crête frontalière avec l'Andorre jusqu'au très bel Étang du Rouch, comme déposé au pied du Pic de Font Blanca, en passant par le majestueux Étang de Gnioure et sa jolie et longue vallée : - nombreuses cascades pendant la montée assez raide et très pierreuse jusqu'au pont de la Peyre ; - petit passage en balcon très légèrement vertigineux pour accéder à l'immense Étang de Gnioure ; - long sentier longeant l'étang puis le ruisseau et s'enfonçant dans la vallée ; - montée à flanc démarrant assez soft pour finir bien raide jusqu'à l'Étang du Rouch.

Premier jour du séjour au Refuge du Rulhe. Cette étape peut être classée difficile à cause de la montée au Col de la Didorte et du passage par la Crête des Isards. Le cheminement se fait sur des chemins très bien marqués au sol, balisés ou non. En cas de brouillard ou pluie : redoubler de prudence sur la crête entre le (4) et le (7).

À noter : la marche d'approche, par la route est la seule partie de la randonnée à l'ombre en partant assez tôt le matin. C'est la seule solution pour réaliser cette boucle. Cela peut sembler fastidieux, mais le paysage est très beau.La randonnée peut être classée quasiment difficile. Car après la passerelle sur le Ruisseau de la Coume de Varilhes, le chemin n'est pas confortable : escarpé, avec des marches, un pierrier aménagé, un ressaut à franchir, etc. Mais là-haut, la récompense. Ensuite le GR®T66 depuis le plus grand des Étang de Fontagente jusqu'au refuge, est du même acabit. C'est assurément une randonnée montagne.

Première étape sportive de découverte dans un environnement préservé. Des notions de lecture de carte, d’orientation sont nécessaires. La trace gpx sur Visorando ou sur un gps est très utile dès le départ et aux nombreuses bifurcations. Il est tout à fait possible de faire plus court en cas de besoin : voir informations pratiques.

Cette randonnée constitue la première étape d'un circuit de cinq jours entre Ax-les-Thermes et La Tour-de-Carol. Cette première étape ne présente pas de difficulté sauf en cas de mauvaises conditions climatiques. Le départ se situe à la gare d'Ax où l'on emprunte la route puis un très joli sentier qui s'élève dans la montagne pour arriver à un refuge non gardé mais très confortable. Cette randonnée est réservée aux randonneurs habitués à la haute montagne et à l'aise dans l'orientation.

Cette belle randonnée pyrénéenne s'effectue sur 5 jours ; elle est réservée aux randonneurs habitués à la haute montagne et à l'aise dans l'orientation. Elle ne présente pas de difficultés majeures, tout se fait "à vache", mais il est nécessaire d’être à l’aise en haute montagne. Le principe de cette randonnée est de partir d'une gare pour rejoindre une autre gare et d’effectuer ainsi une boucle facilement sans avoir besoin de véhicule.

Randonnée en aller simple destinée à être réalisée en une journée, en association avec le train en provenance de Toulouse. Elle est composée d'une montée dans les bois, précédant une section plus aérienne à partir du Col de Joux. Le Pic de Canals offre une vue à 360° sur les vallées de l'Ariège, du Nabre et d'Orgeix.

Montségur, la principale place forte où se réfugient les Cathares pourchassés par les croisés et l'Inquisition est assiégée en 1244 et 225 Cathares refusant d'abjurer leur foi sont brûlés, ici-même, au pied du pic rocheux. À partir de là, les réseaux de fuite mais aussi de propagation de l'idéologie Cathare s'organisent pour échapper à l'Inquisition.

Cet itinéraire permet d'approcher le site de Montségur où 225 Cathares refusant d'abjurer leur foi furent brûlés en 1244 puis, de continuer à travers le pays de Sault vers Montaillou où une rafle de la part de l'inquisition eut lieu en 1308, pour descendre enfin en haute vallée de l'Ariège. Ces chemins furent empruntés par les derniers Cathares persécutés ou résistants comme le furent les frères Authié à l'origine du renouveau Cathare à la fin du XIIIe-début XIVe siècle.