Date de la randonnée : 18 juin 2025
Fiabilité de la description : ★★★★★ Très bien
Facilité à suivre l'itinéraire : ★★★★★ Très bien
Intérêt du circuit de randonnée : ★★★★★ Très bien
Circuit très fréquenté : Non
Randonnée effectuée le 19 juin 2025.
En raison des risques d’orage possibles le départ de la randonnée a été avancé à 8h15 du parking du Ravin des Vieux ; nous étions de retour aux voitures à 15h00. Le temps a été ensoleillé puis partiellement couvert sans conséquences.
La distance a été de 15km (en aller et retour et partiellement en boucle.) La dénivelée cumulée est de 685 m (altitude mini / maxi : 1638 m / 2284 m).
Le Vallon du Laverq est un très beau vallon verdoyant entouré de Mélèzes. La présence de troupeaux en cette saison rend les Marmottes rares. Les deux rives sont très différentes dans leur géologie liée à l’histoire des Alpes qui aura été expliquée au cours du trajet.
Nous sommes un groupe de 3 randonneurs qui partons du parking du Refuge du Ravin des Vieux. La montée se fait d’abord sur un sentier de découverte très confortable de faible dénivelée, le GR 56. Nous le parcourons sous l’autorité des Séolanes (petite 2854 m & grande 2909 m) qui se trouvent sur le versant Est du « Riou-de-la-Blanche » (affluent de l’Ubaye.) Au fond du vallon, un des derniers glaciers résiduel des Alpes de Haute Provence – le Glacier de la Blanche ¬nous guidera tout au long du parcours jalonné de traversées de petits torrents. La Tête de l’Estrop (2961 m) et les Trois Évêchés nous tiendrons compagnie.
Au niveau de Plan-Bas (1839 m) nous entamons la boucle en sens antihoraire dans un mélézin plus dense. La montée le long de la falaise est assez soutenue. Puis nous atteignons un plateau précédant les « Eaux-Tortes », zone humide, tourbière, espace naturel sensible que nous contournons par un Chemin de Ronde. Elle héberge de nombreuses espèces rares, protégées ou endémiques. Le site bénéficie d’un sentier de découverte. Le retour se fera jusqu’à Plan-Bas où nous retrouverons notre chemin aller.
Avant de rejoindre le Refuge pour nous désaltérer, nous nous arrêtons à « L’Abbaye » (1580 m) « Église Saint-Antoine. »