Circuit de Limbach 42 - Circuit ZweierLey

Le circuit ZweierLey est une randonnée culturelle et historique. Il relie les deux plus grandes (anciennes) carrières de basalte de Luckenbach et Rosenheim (Ley/Lay/Lei = carrière), situées à côté du Nauberg. En faisant cette randonnée, tu découvriras plein de choses sur l'exploitation du basalte, qui était super importante dans la région. La Lay de Rosenheim montre aussi de façon impressionnante comment la nature reprend ses droits après la fin de l'exploitation.

Fiche technique

27316386
Création :
Mise à jour :
Dernier avis :
  • Pédestre
    Activité : Randonnée Pédestre
  • ↔
    Distance : 20,77 km
  • ◔
    Durée moyenne : 7h 00 
  • ▲
    Difficulté : Moyenne

  • ⚐
    Retour point de depart : Oui
  • ↗
    Dénivelé positif : + 372 m
  • ↘
    Dénivelé négatif : - 377 m

  • ▲
    Point haut : 499 m
  • ▼
    Point bas : 244 m

Photos

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Description de la randonnée

(D/A) On commence la balade ZweierLey qui nous emmène aux deux anciennes carrières de basalte Luckenbacher Ley et Rosenheimer Lay (Ley/Lay/Lei = carrière) à la Maison des visiteurs (Hardtweg 3) et on suit le Hardtweg quelques mètres vers la droite jusqu'à la Bergstraße. On descend cette rue à droite, on traverse le Lehmbach et on tourne à gauche avant le pont de pierre dans le Mühlenweg.

(1) À la fin de celle-ci, on descend à droite et on arrive sur un chemin à travers champs en passant par le parking du moulin de Limbach. Ce chemin nous mène à une aire de jeux et à un étang, puis, après environ 350 m, à un chemin plus large. Ici, on suit les panneaux en direction de Luckenbach vers la droite, on passe sans tourner après environ 2,5 kilomètres largement plats le long de la Kleine Nister, une petite chapelle forestière (ouverte !), puis peu après l'Atzelgifter Ehrenhain (2) et on arrive peu après, quelques mètres avant la chapelle Gustav-Adolf de Luckenbach trônant sur une colline à gauche, sur un chemin goudronné.

(3) Suivez-le à droite, passez le Roßbach et rejoignez la L 281 toute proche (liaison Atzelgift – Luckenbach). On traverse la route pour prendre le chemin de terre en face, qu'on quitte après environ 30 m en tournant à droite. On suit ce chemin (bientôt) naturel (herbe haute en été) sur environ 550 m jusqu'à ce qu'il se termine, peu après avoir passé un étang, au niveau d'un chêne majestueux, au bout d'un chemin forestier bien entretenu.
chemin forestier bien aménagé.

(4) On continue à droite, on passe sous un grand pont en béton après environ 750 m et on arrive, sans tourner, après environ 500 m, à un étang de pêche situé sur la droite. Au lieu de descendre à droite vers l'étang, on continue tout droit (!) sur le chemin naturel qui devient rapidement un sentier (herbe haute en été) et nous mène tout droit dans la forêt sur environ 100 m (à l'« entrée de la forêt » : vieille souche d'arbre). Dans la forêt, on suit d'abord le petit ruisseau à l'arrière/à droite qui coule sous une petite pente et on le suit sans le traverser (!) à une distance de 5 à 10 m pendant environ 200 m en remontant le ruisseau à travers la forêt de conifères (le sentier n'est parfois plus visible). De l'autre côté du ruisseau, un large chemin longeant une clôture nous accompagne bientôt. En restant toujours près du ruisseau et de la lisière de la forêt, on aperçoit peu après le passage de la forêt de conifères à la forêt de feuillus (il y a un tuyau métallique au sol) une « passerelle grillagée » sur la droite.

(5) On traverse le ruisseau et on arrive tout de suite sur le large chemin qui nous accompagne depuis un moment. On se trouve maintenant en dessous de l'ancienne mine indépendante Naurother Sand, qui a ensuite servi de décharge au district d'Altenkirchen et qui est aujourd'hui utilisée comme centre de recyclage. On monte à gauche et, après environ 200 mètres de montée raide sur une route goudronnée, on tourne à gauche dans la forêt. Après environ 100 m, à la fin d'une courte montée, on trouve sur la gauche les vestiges des fondations de l'ancienne installation de téléphérique de Naurother Sand.

(6) Peu après, on prend à droite à la bifurcation et on arrive après environ 200 m à un croisement. Si tu veux voir toute l'étendue de la zone d'exploitation de la Luckenbacher Ley, tu peux faire un petit détour jusqu'à son site d'exploitation le plus éloigné, la carrière du Thalhäuser Berg, en passant devant l'accès à la décharge. Sans faire de détour, continue à gauche et, après environ 100 m, à la fin d'une clôture sur ta droite, tourne à droite et monte.

(7) Après environ 100 m, on arrive à la cabane barbecue de Naurother, qui invite à faire une première pause après environ 6,5 km. Derrière la cabane se trouve l'ancienne carrière de Naurother Löh, qui a d'abord été exploitée de manière indépendante, puis intégrée à la Luckenbacher Ley (aujourd'hui lac de plongée, visible derrière le barbecue). À la cabane, on continue sur l'asphalte vers la gauche dans la forêt. On ignore la bifurcation à gauche après environ 200 m ainsi que celle à droite après environ 100 m supplémentaires, et on suit le chemin asphalté plat « balisé » par des poteaux jaunes (conduite de gaz naturel). Remarque : environ 500 m après la bifurcation à droite, juste avant que notre chemin fasse un virage à gauche, un autre vestige en béton se cache à environ 20 m du bord droit du chemin dans la forêt. Il s'agit des fondations d'un pilier du téléphérique de la carrière Weiße Lei à
Nauberg à Rosenheimer Lay.

(8) Après le virage à gauche, le chemin n'est plus goudronné et on arrive à un croisement après environ 450 m. À environ 50 m devant nous, en haut du terrain non accessible au public de la Luckenbacher Ley, on aperçoit un énorme tas de terre recouvert d'une bâche et, à droite, la décharge de terre excavée du Westerwaldkreis (panneau). Celui-ci se trouve sur le terrain de l'ancienne carrière de sel ouverte en 1937, qui s'étendait jusqu'au virage à gauche mentionné plus haut et appartenait également à la Luckenbacher Ley. Après le croisement, on continue sur le chemin forestier non goudronné à droite. À la bifurcation, après environ 200 m, on reste à gauche et on arrive, en passant devant le « tas de terre recouvert d'une bâche », dans une petite vallée magnifique. Ce joyau naturel paisible marque – quel contraste – l'ancienne « carrière » de la Luckenbacher Ley et a été créé artificiellement par l'extraction de basalte. Après environ 1 km, on arrive à une entrée latérale (fermée) de la Luckenbacher Ley. Sur la droite, on aperçoit l'ancien atelier (bâtiment jaune).

(9) On continue et après environ 300 m, on arrive à un croisement. Là, on prend le chemin goudronné en bas à droite. On traverse bientôt la L 288 (liaison Hachenburg – Betzdorf) et peu après, on tourne à droite derrière un transformateur. Avec vue sur l'église Saint-Jacques, le chemin à travers les prés nous mène sans bifurcation en descendant vers Rosenheim.

(10) En passant par la « Nasse Struth » (panneau au bout de la rue), on arrive sur la « Hachenburger Straße » (qui relie Rosenheim à Luckenbach, pas de panneau), qu'on prend à droite, puis à gauche après environ 100 m au croisement, pour passer le petit ruisseau (Roßseifen). Après environ 100 m, on tourne encore à gauche dans la Kirchstraße.

(11) Après avoir passé des maisons à colombages et une petite chapelle, on arrive à l'église Saint-Jacques (ou plus exactement l'église Saint-Jacques-le-Majeur), construite en basalte de la Lay de Rosenheim, qui invite à la visite et à la méditation.
. On suit le trottoir, on prend la rue à droite et, à l'autre bout de l'église, on tourne à gauche sur un chemin piétonnier. Après avoir passé la maternelle, celui-ci se termine après environ 100 m sur la Schulstraße (pas de panneau indiquant le nom de la rue). On la suit vers la droite et, à son extrémité, en contrebas de l'ancien Nahkauf, on arrive sur la Laystraße (pas de panneau indiquant le nom de la rue). On la suit vers la gauche en montant. Elle nous mène tout droit en haut de la colline – ne pas tourner ! – et hors du village.

(12) À la sortie du village, la Laystraße devient un chemin de terre goudronné et vous apercevez l'entreprise Hombach sur votre gauche. Une bonne cinquantaine de mètres après avoir passé l'entrée de l'entreprise sur la gauche (on continue tout droit sur notre chemin goudronné !), on tourne à droite dans la forêt. Après environ 100 mètres, la forêt s'arrête sur la droite et on aperçoit le château de Hachenburg ainsi que les parcs éoliens de Hartenfelser Kopf (à gauche) et Mündersbach. À la fin de la prairie, on prend un petit sentier qui monte à gauche. Après environ 200 mètres tout droit à travers la forêt, on arrive à une prairie. Ici, on continue tout droit sur le chemin de prairie à droite jusqu'à ce qu'il se termine, après environ 250 mètres, sur un
chemin transversal bien stabilisé (à environ 50 m sur la gauche se trouve un chêne imposant). On se trouve maintenant sur un plateau typique du Haut-Westerwald avec un paysage de prairies ouvertes.

(13) On suit le chemin transversal vers la droite et après environ 500 mètres à plat, on arrive sur la L 286 (liaison Rosenheim – Elkenroth). Là, on tourne à gauche et on quitte la L 286 après environ 150 mètres à la première bifurcation à gauche (barrière).

(14) Après avoir rapidement passé une deuxième barrière, on arrive, après environ 12 km, à la Rosenheimer Lay, la deuxième Ley de notre circuit ZweierLey. Le chemin longe une clôture sur environ 250 m jusqu'à un panneau d'information sur la réserve naturelle de Rosenheimer Lay. De là, quand il n'y a pas de feuillage, on a une belle vue sur le lac qui s'est formé dans l'ancienne carrière. Après le panneau, on suit le chemin qui se rétrécit pour devenir un sentier et descend vers la Lay. Après avoir passé d'énormes blocs de basalte (éboulis), on arrive à l'extrémité inférieure du lac. Celui-ci est accessible et offre de superbes motifs pour prendre des photos. On reste à droite, on quitte le site d'exploitation et après environ 200 m, on se retrouve devant trois gros blocs de basalte. Juste derrière les blocs de basalte, on reste à gauche et on marche dans une boucle de 600 m en pleine nature (en été, la végétation est parfois haute) jusqu'aux bâtiments de la Rosenheimer Lay.

(15) Ici, on passe devant les bâtiments, on continue à gauche, on passe sous un vieux pont ferroviaire de la ligne Scheuerfeld - Nauroth et après environ 900 mètres tout droits, on arrive sur une route (liaison Biesenstück/Bindweide – Rosenheim). On la traverse pour rejoindre le chemin forestier en face. On se trouve maintenant sur un autre site minier, celui de la
mine de Bindweide, comme l'indique un panneau sur la gauche signalant un accident minier. Après environ 700 m, en ignorant toutes les bifurcations, on tombe au milieu de la forêt sur le réservoir d'eau surélevé de Steinebach. On quitte alors le chemin et on marche tout droit dans la forêt d'épicéas sur un sentier parfois difficile à voir, le long de la clôture à droite du réservoir surélevé. Dans la forêt d'épicéas, nous continuons tout droit sur environ 100 m, à seulement 5 m de l'ancienne piste forestière très envahie par la végétation sur la droite, jusqu'à ce que la forêt devienne plus dense et impraticable derrière une autre ancienne piste forestière transversale. On suit cette ancienne piste forestière transversale sur environ 5 m vers la droite, puis on remonte immédiatement à gauche sans se laisser décourager par les cailloux, les fougères, etc. On se trouve maintenant sur l'ancienne piste forestière qu'on a suivie parallèlement à la forêt d'épicéas depuis le réservoir surélevé (car elle est impraticable dans sa partie inférieure). Après seulement 100 m environ, la piste forestière croise un chemin transversal que nous suivons vers la droite. Après environ 30 m (point de repère : environ 10 m après une grosse pierre isolée (environ 80 x 50 cm) située sur le côté gauche du chemin), nous bifurquons légèrement à gauche sur un chemin/sentier. D'abord tout droit, le sentier bifurque légèrement à droite après environ 100 m, à hauteur d'un petit tas de pierres artificiel situé sur la droite.

(16) Après environ 250 m, le sentier se termine sur un large chemin forestier. On le suit vers la droite et après environ 300 m, à la lisière de la forêt, on arrive sur la K 122 (liaison Malberg – Steinebach/Sieg).

(17) Tourne un peu à droite, puis à gauche et tu te retrouves devant la tour Barbaraturm, dont on grimpe bien sûr les 96 marches pour profiter d'une vue magnifique (avec carte panoramique). À la tour Barbara, le sentier Druidensteig nous rejoint. On le suit en passant devant la tour jusqu'à la L 281 (liaison Malberg – Schwedengraben), on traverse la route et on suit le sentier qui descend brièvement à droite puis à gauche sur un chemin à travers les prés. Après environ 350 m, on arrive sur un chemin de terre goudronné qu'on suit à droite en quittant (temporairement) le Druidensteig. Après environ 250 m, on arrive sur une route (autre liaison Malberg – Schwedengraben).

(18) Suivez la K 120 sur environ 50 m vers la droite, puis quittez-la à gauche pour descendre sur un chemin de terre. Toujours dans la forêt, après environ 150 m, tournez à gauche à la première occasion et
on suit ce chemin naturel sans tourner pendant environ 750 m jusqu'à ce qu'il se termine sur un chemin transversal bien stabilisé. On le suit brièvement vers la gauche, puis on prend la deuxième (supérieure) à droite.

(19) Après environ 600 m, à hauteur d'un grand étang de pêche, on retrouve le Druidensteig qui vient de la forêt sur la gauche et qui nous mène jusqu'à Limbach. On continue tout droit sur le sentier qui longe l'étang, on quitte le chemin de gravier après environ 350 m dans un virage à gauche et on prend un sentier qui traverse immédiatement le Lehmbach sur une passerelle en bois.

(20) Après environ 400 m, on tourne à droite au premier embranchement avec le sentier (virage serré). Après environ 50 m, on suit le balisage du sentier vers la gauche (souvent boueux, mieux vaut rester tout à gauche) et, après un dernier joli tronçon, on arrive à Limbach sur la Bergstraße (pas de panneau indiquant le nom de la rue) après environ 450 m.

(D/A) En quittant le Druidensteig, on suit la Bergstraße à droite et on tourne à gauche dans le Hardtweg, où la maison des visiteurs nous accueille après une balade très variée sur le plan paysager et minier.

Points de passages

  1. D/A : km 0 - alt. 255 m - Maison des visiteurs
  2. 1 : km 0.38 - alt. 248 m - Moulin de Limbach
  3. 2 : km 2.56 - alt. 289 m - Bosquet commémoratif d'Atzelgit
  4. 3 : km 3 - alt. 286 m - L 281
  5. 4 : km 4.28 - alt. 329 m - Pont en béton
  6. 5 : km 5.05 - alt. 359 m - Breiter Weg / Décharge de Nauroth
  7. 6 : km 5.67 - alt. 406 m - Croisement
  8. 7 : km 7 - alt. 425 m - Naurother Grillhütte
  9. 8 : km 8.22 - alt. 416 m - Croisement / décharge du Westerwaldkreis
  10. 9 : km 9.41 - alt. 398 m - Croisement
  11. 10 : km 10.19 - alt. 388 m - Hachenburger Straße - Rosenheim
  12. 11 : km 10.57 - alt. 397 m - Église Saint-Jacques
  13. 12 : km 11.38 - alt. 444 m - Chemin de campagne asphalté
  14. 13 : km 12.49 - alt. 464 m - L 286
  15. 14 : km 13.07 - alt. 448 m - Rosenheimer Lay
  16. 15 : km 14.24 - alt. 426 m - Bâtiment de la Ley de Rosenheim
  17. 16 : km 16.39 - alt. 466 m - Large chemin forestier
  18. 17 : km 16.78 - alt. 439 m - Tour des barbares
  19. 18 : km 17.63 - alt. 385 m - K 120
  20. 19 : km 19.15 - alt. 312 m - Étang de pêche
  21. 20 : km 19.88 - alt. 277 m - Coup de coude à droite
  22. D/A : km 20.77 - alt. 256 m - Maison des visiteurs

Informations pratiques

Petit détour par la carrière du Thalhäuser Berg (aller-retour : environ 800 m supplémentaires) (6)

Si tu veux voir la décharge et l'ancien site d'extraction le plus éloigné de la Luckenbacher Ley, continue à droite au croisement et passe rapidement devant l'entrée du « Betriebs- und Wertstoffhof Nauroth » (centre de recyclage), qui se trouve sur l'ancien site de la décharge. Continue tout droit le long de la clôture sur la route goudronnée. Après environ 250 m, à hauteur d'une « cabane en tôle » sur la droite, un chemin naturel bifurque vers la gauche. Celui-ci se termine après environ 50 m au bord de la carrière. Retournez au croisement où vous avez commencé votre détour et reprenez le même chemin.

  • Tu marches à tes risques et périls !
  • Il faut avoir le pied sûr et porter des chaussures solides.
  • Sentiers en partie naturels
  • Passages boueux possibles
  • Merci de tenir vos chiens en laisse et de rester sur les chemins.

Balisage utilisé
Druidensteig

Source : Association culturelle et touristique de Limbach e.V.
Plus d'infos : www.limbacherrunden.de / www.kuv-limbach.de

A proximité

Chapelle Gustav-Adolf (2)

Naurother Sand (décharge) (5)

C'est seulement quand la ligne de chemin de fer Scheuerfeld – Nauroth a été déplacée au sud de Nauroth via la Luckenbacher Ley en 1934 qu'on a pu exploiter les gisements de sable kaolin et sable adhésif découverts dans le sable de Nauroth. Les 500 mètres qui séparaient le site d'exploitation de la nouvelle gare de Nauroth, au sud du village, étaient franchis par un téléphérique (dont on peut encore voir les fondations). Le transport était ensuite assuré par chemin de fer jusqu'à l'usine de mélange de la gare de Scheuerfeld. Là, le sable de Nauroth était mélangé à d'autres sables de la région pour former un « enduit réfractaire ». Celui-ci était ensuite acheminé vers les grandes fonderies de la Ruhr, via Brême et Hambourg, mais aussi par bateau vers le monde entier. En 1967, l'exploitation a été arrêtée pour des raisons économiques. À cause d'une nouvelle loi sur l'élimination des déchets, le district d'Altenkirchen a décidé en 1973 de faire du sable de Nauroth la décharge centrale du district. Depuis le 1er novembre 2002, la décharge est en phase de fermeture. Celle-ci devrait s'achever au début des années 2030. (Source : Franz-Josef Becker, chronique du village de Nauroth)

Naurother Löh

La carrière Naurother Löh a été ouverte en 1922. Elle produisait surtout des pavés pour les routes et les berges. Le transport des matériaux se faisait par un petit train à voie étroite tiré par des chevaux jusqu'à l'ancienne gare de Nauroth. La carrière Naurother Löh a eu trois périodes d'exploitation. La première n'a duré que de 1922 à 1928. Puis, la carrière a été fermée à cause de la crise économique mondiale et 60 hommes se sont retrouvés sans boulot. Ce n'est qu'en 1936 que le travail a repris sous un nouveau propriétaire. Le transport des matériaux extraits vers la Luckenbacher Ley s'est fait jusqu'à la nouvelle fermeture en 1942 via une ancienne ligne de chemin de fer à voie étroite réactivée. La dernière ouverture a eu lieu en 1946. En 1958, l'ancienne propriétaire de la Luckenbacher Ley, la société Steinwerke Meys & Co., a repris la carrière. En 1960, l'ancienne ligne de chemin de fer à voie étroite a été définitivement fermée à la
Luckenbacher Ley. Dès lors, des camions lourds ont pris le relais pour transporter le basalte jusqu'au concasseur de la Luckenbacher Ley. Au lieu d'être fabriqués à la main, les pavés ont été remplacés par du basalte provenant du Löh, qui était transformé mécaniquement dans un grand concasseur en gravier, gravillons et béton bitumineux. En 1960, la société Bernhard Weller de Steinebach a repris les deux entreprises et a également exploité une carrière sur le Thalhäuser Berg (voir là-bas). Au Naurother Löh (et aussi à la Luckenbacher Ley), le dernier quart de travail a été effectué en octobre 1962. (Source : ibid.)

Carrière de basalte du Thalhäuser Berg

La carrière de basalte ouverte en 1960 au Thalhäuser Berg, dans la forêt de Nauroth, était une extension de la Luckenbacher Ley. Des excavatrices à chaînes étaient utilisées pour le chargement dans la carrière. Des camions à benne basculante transportaient le basalte vers les installations de traitement de la Luckenbacher Ley. En 1972, les réserves de basalte exploitables étaient épuisées et l'exploitation a donc été arrêtée dans cette dernière carrière, qui était aussi la plus éloignée de la Luckenbacher Ley. (Source : ibid.)

Luckenbacher Ley

Même sans être reliée à la ligne ferroviaire Scheuerfeld-Nauroth mise en service en 1913, la société AG Eiserfelder Steinwerke a commencé la même année l'exploitation du basalte à Luckenbacher Ley. Celui-ci était principalement transformé en pavés, bornes et gravier à partir des résidus (= petits morceaux cassés à la main) à l'aide de camions à benne basculante. Au début, le transport vers la gare de Nauroth se faisait avec des charrettes tirées par des chevaux, puis en 1914, on a commencé à construire un chemin de fer à voie étroite vers l'ancienne gare de Nauroth. Après la guerre, les premiers trains ont pu circuler avec une petite locomotive à vapeur. Mais à cause de la crise économique mondiale, la Ley a fermé en 1929, laissant 80 personnes sans boulot. Ce n'est qu'en 1933 que l'activité reprit avec la société Steinwerke Meys & Co. En 1934, grâce à un changement de tracé, la ligne ferroviaire Scheuerfeld – Nauroth fut enfin raccordée. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'un transport optimal fut possible. La demande en basalte était énorme en Allemagne : pour l'extension du réseau ferroviaire, la construction des autoroutes du Reich et les fortifications du Westwall. Les investissements nécessaires ont été réalisés. En 1935, une nouvelle grande installation de concassage et une première installation de production de gravillons goudronnés ont marqué le passage des produits finis en basalte fabriqués à la main à l'aide de bennes basculantes (par exemple, des pavés) à la production mécanique de produits en vrac tels que le gravier, les gravillons et le béton bitumineux. À partir de 1937, trois chemins de fer industriels transportaient sans relâche le basalte vers le concasseur : un depuis la carrière principale de Ley, le deuxième depuis Naurother Löh et le troisième depuis Salz, la carrière située entre Ley et Löh. 160 hommes travaillaient en deux équipes. En moyenne, 20 000 tonnes de basalte étaient livrées chaque mois. Avec un effectif fortement réduit, l'entreprise a même continué à fonctionner pendant toute la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, la Ley de Luckenbach s'est entièrement adaptée aux besoins de la construction routière, où le goudron avait complètement remplacé les pavés. En 1958, la Ley de Luckenbach a repris la Ley de Naurother. En 1960, l'entreprise Bernhard Weller de Steinenbach est devenue propriétaire des deux exploitations et a également ouvert la carrière du Thalhäuser Berg. Avec l'arrêt de l'exploitation de cette carrière, la Ley de Luckenbach a définitivement cessé ses activités en 1972, après que la dernière équipe ait travaillé dans les autres carrières de la Ley en octobre 1962.
(Source : ibid.)

Église Saint-Jacques (11)

Rosenheimer Lay (14)

Vers 1900, l'exploitation du basalte a commencé à petite échelle dans la région de Rosenheimer Lay. En vue du raccordement de la Lay à la ligne ferroviaire Scheuerfeld-Nauroth mise en service en 1913, la société AG Eiserfelder Steinwerke avait repris l'exploitation en 1911, aménagé la carrière sur une grande superficie et installé l'une des installations de gravier les plus modernes de l'époque directement sur la voie de raccordement. Bientôt, plus de 600 tonnes de produits à base de basalte quittaient chaque jour l'usine. Au début, il s'agissait encore de grandes quantités de rouleaux de convoyage, de pierres pour la construction hydraulique, de bornes et de pavés. Mais rapidement, les produits en vrac fabriqués à la machine pour la construction ferroviaire et routière, comme le gravier et le gravillon, ont remplacé les produits fabriqués manuellement à l'aide de bennes basculantes.
Après un ralentissement économique dans les années 1920 (crise économique mondiale), les livraisons ont atteint des niveaux records au début et au milieu des années 1930, notamment grâce à la construction des autoroutes du Reich et aux livraisons de matériaux destinés au Westwall. Avec 350 employés, Rosenheimer Lay produisait 19 000 tonnes par mois. Après la fin de la guerre, environ la moitié de la production était destinée à la construction routière et au chemin de fer. En 1958, une nouvelle installation moderne de production de gravillons nobles a été mise en service. Dans les années 60, le rendement a certes diminué. Mais en parallèle, la carrière Weiße Lei sur le Nauberg fournissait quotidiennement 1 000 tonnes de basalte pré-concassé à Rosenheimer Lay via un nouveau téléphérique. C'est là que se faisaient la transformation finale, le chargement et le transport par route ou par rail. En 1969, de nouveaux records de livraison ont été battus. Rien que pour le ballast ferroviaire, plus de 20 000 tonnes par mois. Mais au début des années 70, la carrière de Rosenheimer Lay était épuisée et a été fermée. Le 20 juin 1972, le dernier quart de travail a été effectué. Les
livraisons par téléphérique depuis Nauberg se sont toutefois poursuivies jusqu'en 1975. Les installations ont ensuite été fermées et progressivement démantelées. Aujourd'hui, le site de la Rosenheimer Lay, d'une superficie de près de 49 hectares, est une réserve naturelle. (Source : ibid.)

Barbaraturm (17)

En plus de toutes sortes d'infos sur la tour et l'exploitation minière dans la partie inférieure, la plate-forme panoramique accessible gratuitement à près de 20 mètres de hauteur offre une vue incroyable sur le Westerwald, le Siebengebirge, le Wildenburger Land et le Bergisches Land. Une carte panoramique aide à s'orienter.
Remarque : la tour Barbaraturm fait partie de la mine touristique Grube Bindweide, qui vaut vraiment le détour, et peut être visitée avec celle-ci dans le cadre de la randonnée « Glück auf!-Tour » (LIMBACHER RUNDE 31).
Plus d'infos : www.bindweide.de

Possibilités de restauration
Limbach (le week-end)
Rosenheim

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